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Vers le début du 19e siècle, à Saint-Félix-de-Valois, en Matawinie, opéraient pas moins de 11 moulins le long de la rivière Bayonne. Il est toujours possible de voir les vestiges[1] de certains de ces moulins, exceptionnellement bien conservés, sur des chemins de campagne tout à fait pittoresques.
Bon nombre de ces moulins ont eu plusieurs vocations au fil du temps. Moulins à scie, à farine, ou à cardes[2] ont été de véritables piliers[3] pour l’économie locale. Bien que l’âge d’or des moulins soit aujourd’hui révolu,[4] l’impact qu’ils ont eu sur les communautés du territoire est encore bien présent. En effet, plus on va vers le nord, plus la ressource forestière est omniprésente. À une certaine époque, il s’agissait certainement[4] de la plus importante industrie de la région. Pas étonnant que tant de moulins à scie se soient développés le long de ses nombreux cours d’eau au cœur de ses villages.
Au « Vieux Moulin à scie » de Saint-Michel-des-Saints on peut y voir vestiges et artefacts[5] rappelant la vie de bûcherons[6] de bon nombre de ses concitoyens.
Aujourd’hui, ses nombreuses forêts et lacs majestueux dont le lac Taureau attirent amants[7] de la nature et touristes. Les visiteurs viennent profiter de ses plages et des nombreuses opportunités d’activités de plein air de quatre saisons et de sports nautiques qu’offre la destination.